Une grande importance est accordée aux rythmes et à l'espace, à la manière d'une chorégraphie dans Mues dissipatives, où le corps auto-filmé du performer déambule de façon erratique dans un champ de vignes. Il se joint aux paysages perçus par un rapport de coexistence ou de fusion, et non pas comme un observateur qui voit tout un cosmos visible, comme une collection de perçus liés par un rapport de juxtaposition.
Sa déambulation retranscrit une appropriation émotionnelle de l'espace qui dérive inéluctablement vers une transe bacchique.
In Dissipative Metamorphosis the self-videofilmed body of the performer moves on in an erratic meandering in a wineyard. Her meandering reflects an emotional sensation of space which glides ineluctably toward a wild Dyonisos dance.